Cette semaine, pour rester dans le style action qui a bien plu avec The amazing Spiderman, notre équipe s’est attaquée à un nouveau monument dans son genre : l’agent 47 de de « Hitman : Absolution » dont nous avions eu un avant goût au Paris Games Week 2012.
 Editeur Développeur Type Date de sortie Classification |
Square Enix IO Interactive Infiltration 20 novembre 2012 Déconseillé aux – de 18 ans |
A part Ixion, personne n’avait joué à l’un des précédents titres, puisque nous en sommes au 5ème d’une série débutée en l’an 2000. Totale découverte donc !
Tout le monde n’est pas encore familiarisé avec la manette Xbox 360, donc il y a eu un petit temps d’adaptation, mais la prise en main a été assez facile. Nous avons tous testé le tutoriel et la première des 20 missions qu’offre le jeu lors de notre dernier atelier.
Mais voyons tout ça plus en détail !
Interface |
Toujours les mêmes limites pour les interfaces de jeu en général :
il faut savoir lire ! Donc ceux qui savent se débrouillent bien, mais pour les autres, sans aide, ils faut lancer le jeu par défaut avec les boutons de démarrage standard : « start » et « A » sont tes amis ! |
Gameplay |
Le jeu offre cinq niveaux de difficulté, et ça, c’est un gros plus Il est donc facile d’adapter la difficulté au niveau de la personne : pas de frustration et grâce aux points de sauvegardes, la progression est régulière en se faisant plaisir. Même s’il est parfois difficile d’anticiper une attaque ou une action, le fait de pouvoir recommencer juste avant ne gêne pas trop. « C’est un jeu à mon niveau, mais il est un peu dur » nous dit Psiboy, « oui, c’est un peu compliqué » rajoute Jukebox « mais ça me fait rire comment il tue les gens. Vas-y, appuie sur la croix (le X), tu vas l’assommer ! » Donc un jeu abordable et fun dès le départ selon Nono : « C’est bien indiqué sur l’écran, les touches, ce qu’on peu faire. Allez hop, va dormir dans la caisse ! Faut bien réfléchir et pas rentrer dans le lard ! »
Le jeu donne la possibilité de réussir la mission de différentes façons. C’est donc chacun son style : en finesse ou en mode warrior-je -tire-sur-tout-ce-qui-bouge ! |
Graphisme |
Le jeu est agréable et bien modélisé, les décors variés. Cependant, infiltration oblige, notre agent 47 affectionne les coins sombres et ça… « Tout est bien graphiquement, les bonhommes sont bien faits, mais c’est un peu sombre. C’est dur pour ceux qui ne voient pas bien quand il fait nuit. » nous dit Psiboy, alors que pour Nono : « Moi j’aime bien les graphismes, y a plein de cachettes pour se planquer ! » Heureusement, entre les réglages du jeu et du téléviseur, il y a toujours moyen de rendre plus lumineux au besoin. |
Son |
Dans l’ensemble, l’ambiance sonore a bien plu à tous. Il est possible de s’arrêter pour écouter discuter les passants, les adversaires, et collecter de précieuses informations. Point très apprécié : les explications des fonctions dans le tutoriel sont verbales et sous-titrées ! Plus facile à comprendre, et donc moins de difficulté en jeu. |
global |
C’est donc un jeu qui a bien plus dans son ensemble et qui a donné envie à plusieurs d’aller plus loin. Facile d’accès, le mode débutant permet de foncer sans trop de risque, et donc de profiter du jeu sans être bloqué par des passages trop délicats. Le fait que ce soit scénarisé plait beaucoup aussi, Nono et Psiboy suivent l’histoire avec intérêt. |
