PGW2015 – Et du côté de Playstation…

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Tournée des constructeurs oblige, c’est vers le stand de Playstation, tout aussi gros que celui de Xbox, que nous nous sommes dirigés. Grosse nouveauté de l’année, Playstation avait décidé de ne pas faire de conférence à la Gamecom de Cologne pour garder ses annonces pour la Paris Games Week. Le moyen de se démarquer et aussi la preuve que ce salon prend suffisamment d’ampleur pour que les constructeurs s’y intéressent.

En tout cas, cette conférence a permis de présenter des exclusivités et nouveautés non présentes sur le stand comme le futur « Gran Turismo Sport », le « Detroit : become Human » de David Cage ou le « Wild » de notre Michel Ancel national, de quoi faire réfléchir sur les achats de console en cette période de Noël qui approche. On va finir par devoir troquer notre PS3 qui prend la poussière pour une 4… faites vos poches les gars !

Mais ça ne veut pas dire que le stand était vide, loin de là ! Nous vous présenterons dans des articles dédiés Uncharted 4, Call of Duty: Black Ops III et Star Wars Battlefront que nous avons pu tester. Parlons donc de l’avant-première mondiale que nous a réservé Playstation sur ce stand : le PlayStation VR, le casque de réalité virtuelle.

Et croyez-moi, ce ne fut pas simple d’y accéder, même avec l’accès privilégié réservé à notre groupe vu le handicap. En effet, la demande était tellement forte que certains ont attendu plus de 6h le premier jour, de midi à la fermeture du salon, pour se voir refuser le passage faute de temps. Mais l’équipe de Playstation nous a fait le plaisir de nous réserver un créneau le lendemain et nous avons pu tester le jeu Rigs en présentation. Le ballon sur la photo de droite, c’est Pat qui l’avait attaché au poignet… très drôle durant le test de le voir aller dans tous les sens !

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Rigs est un jeu de basket futuriste, vous entrez dans la salle de préparation, le temps d’admirer votre machine et les alentours : pas de latence ! Vous tournez la tête et vous voyez aussitôt ce qu’il y a derrière vous, c’est… à vivre, dur de décrire. Seul chose étrange, vous ne voyez ni vos bras, ni vos mains. Ensuite, une machine vous dépose dans votre méca, première sensation de décoller, le corps commence à patauger entre ce qu’il « voit » et votre position assise dans la réalité, effet garanti.

Le jeu est donc une partie de basket en meca. En 3 contre 3, vous devez abattre un adversaire en tirant pour récupérer les boules d’énergie qu’il libère et ainsi charger votre barre d’énergie. Quand elle est pleine, il faut courir sur la partie haute du « panier » et sauter dedans pour marquer un point. Le tout se joue dans un environnement futuriste à plusieurs hauteurs, des couloirs, des rampes… vous pouvez à tout moment choisir de mettre votre méca en mode vitesse pour courir plus vite, en mode puissance pour des tirs plus destructeurs ou en mode réparation pour restaurer votre vie. Avec la possibilité de faire des doubles sauts, vous vous envolez sur les étages supérieurs.

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Bref un jeu rapide, demandant réflexes et organisation, des sensations fortes quand vous sautez et une immersion réellement totale. Le casque est léger et on l’oublie vite étant dans l’action. J’ai personnellement trouvé dommage d’être assis puisque du coup, se retourner est impossible et du coup on peut jeter un oeil devant soi et sur les côtés, mais pas derrière. Ceci dit, logique vu que vous êtes dans le méca…

C’est bien une avancée dans le monde du jeu vidéo, a tenter au moins une fois pour vous faire un idée, reste à voir quand et à combien il sortira : ça reste une inconnue totale.

Si nous ne nous y sommes pas attardé faute de temps et ne connaissant pas le jeu de base, il faut noter que l’extension « Le roi des corrompus » pour « Destiny » était également mise à l’honneur ainsi qu’un espace dédié aux jeux indépendants présents sur le Playstation Store et des bornes pour Gravity Rush, Street Fighter V, un stand Guitar Hero Live (je nous voyais mal guitare à la main…) et PES 2016. Ne le dites pas trop fort pour le dernier, on l’a loupé et Zizou pourrait me tuer pour ça… mais c’est notre prochain test ! (on se rattrape comme on peut).

 

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